• Déchirer chapitre 2

    Déchirer chapitre 2

     

    Je m’accouru chez ma tante et là je vis, le sous chef des armés. Celui  qui allait remplacé mon père, il allait prendre sa place. Personne ne pouvait prendre sa place. Quand mon oncle me vit, il me prit dans ses bras et  me chuchota d’une voix assez grave (à son habitude) :

     

    • T’es la plus forte, ne lâche jamais rien ! C’est toi maintenant la chef de cette famille.

     

    On resta là, à attendre par avion le corps sans vie de mon père. Ma mère avait laissé Bryan ici et était allé dans un bar pour « essayé d’oublier » la mort de mon père. La police téléphona à ma tante pour qu’elle aille chercher ma mère ivre. Elle avait été retrouvé sur un trottoir en hurlant. Je pris Bryan pour aller le promener dans une poussette. On se promenait au alentour des champs et j’essayais de ne pas penser à la mort de mon père mais plus j’essayais d’oublier, plus j’y pensais. Comment j’allais surmonter cela… surtout comment ma mère allait le surmonter. On avait besoin d’elle mais malheureusement, elle était absente. On s’arrêtais sur un banc et Bryan qui avait seulement 1 ans dit uniquement deux syllabes avec difficultés :

     

    • Pa….Pa

     

    Je me mis à pleurer devant l’air perdu de mon petit frère et je lui expliquai comme je le pouvais :

     

    •  Papa, il est partis dans un endroit qui s’appel le paradis, tu le reverras dans longtemps que si tu es sage d’accord ? Mais il faut être sage

     

    Il me fit un câlin. Il me serra tellement fort que cela me fit encore plus pleurer.  Je ne savais pas s’il m’avait comprise mais en tout cas, je crois qu’il a compris l’essentielle. Je rentrai et ma mère était en train de vomir dans les toilettes (à cause de l’alcool). Je voulu lui parlait mais un soit disant « psychologue » me conseilla de la laissé seul. Mon oncle et ma tante était préoccupé pour l’état de ma mère, le village pour Bryan et Chuck mais personne ne pensais à moi. Il disait : « elle est forte » mais personne se demandait comment je le vivait. Personne ne savait que tous les soirs je pleurais de douleurs. Mon père était un  des quatre de mes piliers et sans lui, c’était compliqué. On attendis  trois jours le corps de mon père.  Les pires jours de ma vie….

     

    Pendant tous ce temps, je dus m’occuper de Bryan, de lui donnait à manger, le douchait, le promenais, le couchait…Mais aussi de Chuck qui restait constamment enfermé dans sa chambre sans vouloir voir personne. J’ étais devenue la nouvelle maman de la maison en attendant notre vrai maman. Trois jours après cette tragédie, le corps de mon arriva par avion.

     

    Toute la famille (dont le village), partîmes à l’enterrement. Je pleurai mais je devais en même temps m’occupé de Bryan qui était énervé car la cérémonie durée longtemps. Chuck quand à lui était dans son coin avec des larmes qui dégoulinaient sur son visage mais avait toujours dans sa poche sa console. Tous le village pleuraient et se préoccupaient de tous le monde sauf moi. Il pensait que j’étais surhumaine mais je ne l’étais pas. En rentrant, ma mère, se remit à boire même si le lendemain, elle devait aller travailler. Je ne l’a reconnaissais plus, elle était constamment bourré et jamais dans son état normal. Le psychologue qualifié cela de normal mais ma mère n’était pas dans son état normale. Je préparais Bryan pour qu’il aille dormir. Je le couchais pour qu’il dorme, pour le lendemain aller à la crèche. Quand il dormait, je préparais des œufs brouillaient et du bacon. J’en amenais à Chuck et essayé de discuter avec lui mais en vain. Il se refermait de plus en plus sur lui-même. De même pour ma mère qui elle ne voulait rien avalé par peur de tout revomir à cause de l’alcool. Je partis alors faire les devoirs et rattrapé le retard que j’avais pris ses derniers jours. Le lendemain ma mère partis au travail et je dus faire comme tous les matins en ce moment, préparer Bryan et réveillé Chuck qui partis à contre cœur au collège ce qui n’était jamais arrivé depuis bien longtemps. Mon grand frère était passionné de l’école et là, je ma demandais, si je devais prévenir le psychologue de l’état de Chuck mais j’ai vite oublié quand je remarquais que j’approchais de la maison de ma tante

      

     

     

    PS: Sinon, comment c'est passer votre rentrer? Ou se passe vos vacances pour certains? Comment c'est passer votre journée ? Dites le moi en commentaire ou par email : mariane34080@gmail.com

    GROS bisous ma Monde des Ados Family


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